le 31-03-2012 17:19

suite du débarquement

Oui effectivement ledébarquement avaitbien lieu mes nous a par les bombardements plus proche on ne voyer pas grand-chose arrivé a tel point qu’on se demande si c’était vrai , ben j’aime mieux vous dire que l’on c’est vite rendu compte que c’était la réalité, car quand les Américains sont arrivez a Orléans il ont pas pus traversé le pont qui fallait prendre pour être a Olivetou les Allemands était et ne voulez pas laisser la place,inutil de dire que nous avons passez des moments terribles, et des jours et nuits dans la caves nous ne sortions très vite pour les repas que sœur Hélène faisait le mieux qu’elle pouvez, Inutile de dire que nous ne trainions pas pour manger puis nous prenions par la même occasion nos précautionsavec toujoursla peur qu’un obus nous tombes dessuscar voyez ‘vous dans la cave nous entendions le sifflement des obus passer ont se dissiezs’il passe se n’et pas pour nous ,ben ont pensez pas que c’était d’autre qui le recevez !!!oui dans ces moment -la nous ne pensions qu’au bruit des avions qui bombardez, les Américains qui si mettez aussi ainsi que les Allemands de notre cotez ce qui fait que nous étions pris sous les tirs croyez moi c’était effrayent surtout la nuit. Les maquisards et le prêtre d’Olivet voyant la que la situation que les Américains ne tirez pas ou les Allemands ce trouvez mes sur nous les civils, alors le prêtre et les maquis connaissantles coits ou les Allemands ne surveillez pas ils ont traversez la Loire pour donner des indications au Américains se qui nous a soulagez et qu’ont a appréciez quand enfinles Américains sont entré des Olivet j’aime mieux vous dire qu’ils ont était a bras ouverts ils ne l’avez pas volez vous ne croyez pas ?

 


 
 
le 29-03-2012 11:04

le débarquement

Quand une camarade est revenue de la visite de sa maman, elle est venue vers nous toute excitée et nous a dit :« Les américains ont débarqué !!! ». Nous, incrédules que nous étions, nous nous sommes moquées d’elle en lui disant d’arrêter de se moquer de nous ! Alors, elle s’est mise en colère et nous a dit que sa mère n’était pas une menteuse, qu’elle était au courant que les américains avaient débarqué en Normandie, nous la Normandie ça ne nous disait rien… seulement on s’est vite rendues compte qu’elle disait vrai car les bombardements ont été bien plus rapprochés, à tel point que la nuit nous ne pouvions pas dormir car il fallait aller dans la cave où nous étions empilées sur des bancs en  attendant que ça s’arrête.Et là la première fois ce que nous avons vu, c’était trois hommes réfugiés quiétaient déjà dans les lieux dont un couché sur un matelas posé par terre. Il avaitdes pansements car il avait été touché par un tir des allemands. Nous, quandnous les avons vus, ça nous a rassuré un peu car ils ont été de bon conseilauprès des sœurs au niveau de la sécurité à tenir. A savoir mettre des sacs desables devant les soupiraux de la cave pour empêcher le passage des ballesperdues à travers ces ouvertures, pour éviter des blessés. Seulement quand onentendait les bottes des allemands passer devant la cave, on avait toujourspeur qu’ils s’arrêtent et nous découvre ainsi que les maquisards. Nous n’osionsimaginer ce qui aurait pu se passer dans ces cas-là !

 


 
 
le 27-03-2012 19:21

camouflage d'un maquisard

Voyez-vous nous avions des corvée a faire moi c’était les escaliers qui donner dans les appartements des sœursjepouvez voire ce qui se passer dans la cour de l’entré. Ma corvée consisté a faire propre les escaliers en les balayent et les ciré tout les jours, pour les ciré comme c’était la guerre pour trouver de la cire c’était coton !!!! alors les sœurs ont trouvé comment faire faut dire qu’a cette époque les autels était au font du cœur le prêtre tournez le dos au fidèle, surles autelil y avait des candélabres avec des gros cierges et des fleurs ,au milieu de l’autel il y avait le tabernacle , c’était très accueillant, pour en revenir a la cire quand les cierges était presque fini de brulé les sœurs les prenez et cet avec sa que je ciré les marches , un jour que j’était bien occuper j’entent la cloche d’entré qui sonnez très longtemps comme si quelqu’un était pressé alors moi curieuse comme j’était j’ais regardé et ce que j’ais vue quand la sœur a ouvert la porte c’était trois hommes dont deux qui portez un homme qui ne pouvez pas marché car il était très mal il avait du sang sur lui , nous avions un dispensaire dans la pension il était au bout du bâtiment ou j’était ,quad les hommes parlé a la sœur elle les a fait entré très vîtes dans le dispensaire et elle a était chercher la sœur Marie qui était infirmière . nous avons sue plus tard que c’était un maquisard que les ont cachez parmi nous pour pas que les Allemands les trouvent c’était risqué mais elles ont bien fait je vous direz pourquoi la prochaine foi !!!! sa vous intéresse ?

 


 
 
le 23-03-2012 14:14

mon école

Je vous et parlez de nos occupations mais pas de notre école ,aussi je vais remédier a cette oubli. Et quand je vois comment maintenant sa ce passe pendant les cours ces le jour et la nuit comme on dit !! quand la cloche sonner nous, nous mettions en rang deux par deux et attendez que la sœur nous dise de rentrez se que nous faisions en silence puis on attendez debout dans le rang a coté de notre pupitre que tout le monde soit entrez et que la sœur soit monté sur son estrade et nous dise de nous asseoirce que l’ont faisait en croisant les bras,âpres notre prièrela sœur nous donnez le devoir que nous devions faire et toujours en silence si quelqu’un entré il fallait se levés et attendre que la personne nous dise de s’asseoir et nous continuons nos cours .Gard a celle qui bavardez ou trichez !!!il faut dire que la sœur de son bureau sur l’

 


 
 
le 22-03-2012 11:09

les châtaignes

Au moment de l’automne les châtaignes étant tombées les religieuses nous emmenaient dans des propriétés pour ramasser les châtaignes. Quelle partie de plaisir ! Ça nous changeait de la pension ! Seulement il n’y avait pas que du plaisir car les châtaignes se défendaient, et oui elles étaient enfermées dans leurs bogues avec des piquants et je peux vous dire que ça ne faisait pas du bien ! Mais heureusement elles n’avaient pas le dessus car nous, avec nos semelles en bois, nous tapions dessus et elles étaient obligées de s’ouvrir. Ce qui fait que nous en ramassions beaucoup ! Quand les sacs étaient pleins nous les mettions dans la carriole puis nous rentrions à la pension où Sœur Hélène (cuisinière) faisait cuire les châtaignes pour le soir. Mais voilà il faut croire qu’il y avait des espions qui renseignaient l’EDF du programme du soir car nous avions une panne d’électricité régulièrement le vendredi. Ce qui fait que l’on ne savait jamais si on mangeait une bonne ou une mauvaise châtaigne. Nous entendions souvent les châtaignes recrachées si elles n’étaient pas bonnes. Heureusement pour nous consoler quand le courant revenait nous avions le droit à de la compote pour faire passer tout ça !

 


 
 
le 21-03-2012 10:01

on )parle de l'écologie

en se momment nous entendont toujours parlez de l'écologie,moi je peux vous dire que les soeurs elle ,elle le connaisez peut étre a cause des retrictions toujour et-il que je me souviens de ce momment .oui pour nous les pensionnaires c'était plutot une corver je vais vous expliquez se qui ce passé .D'abors les soeurs ammenez des tables dans la cour de récréation puis des grands récipiens et grand paquet de cornettes qui avait était laver et séchés puis surtout ce que nous n'aimiont pas c'était des plaques en toles se que nos pauvres mains prenez avec ça!!!!!! car voyez -vous des que l'on arrivez au mois de juin comme il i avait beaucoup de soleil les soeurs nous demandez aux plus grandes (j'en faisait partie pauvre de moi!!!!de mettre les plaques debout au soleil malgrés les chiffons pour nous protégès mes main il arriver que l'on se faisait mal,la elles mettez les cornettes dans l'amidons puis apliquez les cornettes sur les plaques sans faire de faux plis et nous remmetions ces maudites plaques aux soleil  .puis quand tout était mis nous avions un peu de rèpit pas trés longteng car des que les plaques était trés chaudes nous les ammenions encore aux soeurselles n'avez plus qu'a les empilez les unes sur les autre car elles était impécable nous pendant nous prions pour qu'elles toute parfaite si non pour celles qui n'avez pas eu la chance de passez l'épreuve rebelotte le cirque reprenez !!!!! qu'elle journée pour nous!! alors que pensez-vous de cette écologie ?

 


 
 
le 17-03-2012 17:49

le laitier

bon comme on dit ((le malheur des uns fait le bonheur des autres)) j'en et la preuve la voici .dans le Loiret les fermes était un peu éloigner de la route ,il y avez un chemin pour y avoir accé ,les fermiers quand ils avez fini leurs traites il mettaient leurs lait dans des bidons et les mettez au bout du chemin .le laitier faisait sa tournait pour ramasser le lait tout se passez trés bien. mes voila la guerre et arriver et tout a changé, car quand il y avait des alretes le chauffeur sortez de son camion pour se mettre a l'abri ou il pouver , pendans ce temtp-la  le lait resté au soleil (car je vous  parle de l'été)ce qui ne lui convenez pas bien comme vous pouvez vous en doutez !!!!! quand le bombardement était fini il continuez sa tourné, mes quand il arrivez au dépos le lait était tourner alors aulieu de le jeté ils venez le donner a la pension ou soeur hélène qui était la cuisiniére lessait le lait égouttè et on nous en servez comme desert comme nous étions hereuses mes hélas!!!se que nous ne savions pas ses que les paysants ne serait pas payez, et comme ils n'avez pas d'aide sa devez leur étre  tres dur ne croyez-vous pas?
 


 
 
le 15-03-2012 11:01

le quotidien pendant la guerre

Envie d’un peu plus de légèreté dans mesarticles tout en tenant à vous expliquer ce qu’était la vie pendant la guerre.Je viens aujourd’hui vous raconterle quotidien de cette époque.

 


 
 
le 09-03-2012 11:04

je crois au miracle

un jour les soeur voyent que les bobardements était de plus en plus fréquent ont pris une décision  la voici .nous avons était mises en lignes puis une soeur et passer devant nous en nous donnent une médaille retenue par un cordon  en nous disent((la vierge Marie vous protégerat )) donc tout le monde était tranquille ,de temps en temts une soeur controlait si nous avions toujours notre médaille , et bien sur nous l'avions tous .un jour controle , malheur de moi!!!! je cherche au tour de mon cou rien j'avais perdu ma médaille , quand la soeur a vue ça elle ma défendue de m'approcher des autres Mimi et moi étionts trés malhereuses mais nous ne pouvions rien faire car c'était un ordre.alors pendant que les autre jouer moi j'étais assise sur mon coffre car il faut vous dire que nous avions des numéros pour tout toujours le méme (je me rapelle plus du mien) donc j'était toute seule et bien malereuse !!!!! mais un jour la siréne sonne comme d'habitude tout le monde ce prècipite a l'abri dans la cave, tout le mondes ?ben non!!moi comme la soeur a suivi les autre sans se soucier de moi ben je suis réstait a ma place alors -la j'était aux premiéres loge avec une peur du tonnére j'entender les avions qui s'pproches de plus en plus vers ou j'était ,j'avais tellement peur que je nosèe pas bouger dailleur en plus de la peur des avions j'avais de reçevoir une punition pour avoir déobèis pour avoir etait avec les aures .Soudain j'entend un bruit infernal jet en méme tempt un sifflement puis un autre bruit plus fort !! tout ça a était tellement rapide que je ne pouvais pas réaliser sur le coup se qui arriver ,oh la la!!!! quand j'ais réalisée je ne pouver pas le croire car vraiment je peu dire que je les échaper bel!!! oui une bombe était tomber sur un de nos batiment et un éclas et tombé  environs apeine aun mettr de moi  quand la sirénne a sonner pour dire qu'il n'y avait plus de denger et que la soeur a vu moi sur mon cffre comme une statue et l'éclat de l'obus elle n'en revnez pas elle ma dit que malgrés que je n'avait pas de médaille la vierge m'vavait protéger donc je pouvez reprendre ma place 
 


 
 
le 02-03-2012 17:48

pique-nick

je ne vais pas cette fois ci vous parler de la guerre car ces souvenires me font pensée a des choses trés fortes!!! bon voila!!nous avoins hate au moment du blé de voire en nous promenent  les paysants sur leurs faucheuses et guider leurs chevaux si les Allemands leur en avait laisser si non cétait avec des boeufs , on voyaient le blé tombé sur le sol il était lier en botte ,les paysants les metter en tas pendant un certaint temps