le 17-03-2012 17:49

le laitier

bon comme on dit ((le malheur des uns fait le bonheur des autres)) j'en et la preuve la voici .dans le Loiret les fermes était un peu éloigner de la route ,il y avez un chemin pour y avoir accé ,les fermiers quand ils avez fini leurs traites il mettaient leurs lait dans des bidons et les mettez au bout du chemin .le laitier faisait sa tournait pour ramasser le lait tout se passez trés bien. mes voila la guerre et arriver et tout a changé, car quand il y avait des alretes le chauffeur sortez de son camion pour se mettre a l'abri ou il pouver , pendans ce temtp-la  le lait resté au soleil (car je vous  parle de l'été)ce qui ne lui convenez pas bien comme vous pouvez vous en doutez !!!!! quand le bombardement était fini il continuez sa tourné, mes quand il arrivez au dépos le lait était tourner alors aulieu de le jeté ils venez le donner a la pension ou soeur hélène qui était la cuisiniére lessait le lait égouttè et on nous en servez comme desert comme nous étions hereuses mes hélas!!!se que nous ne savions pas ses que les paysants ne serait pas payez, et comme ils n'avez pas d'aide sa devez leur étre  tres dur ne croyez-vous pas?
 


Commentaires

 

1. audey  le 17-03-2012 à 17:48:31  (site)

coucou c'est AUDREY j'ai lu le laitier et sa ma intéréssé . Bon courage!

édité le 17-03-2012 à 18:48:54

2. lacorneille  le 17-03-2012 à 18:59:47

merci de l'encouragement contente que sa vous interese!!

 
 
 
le 15-03-2012 11:01

le quotidien pendant la guerre

Envie d’un peu plus de légèreté dans mes  articles tout en tenant à vous expliquer ce qu’était la vie pendant la guerre.   Je viens aujourd’hui vous raconter  le quotidien de cette époque.

 

Au printemps, au moment des cerises dans le Loiret, il y avait la fête de ce fruit. C’était l’arbre qui était le plus présent dans les jardins du coin. D’ailleurs ma grand-mère avait un champ où il y en avait plein. Nous, ses petits-enfants, quand ma grand-mère Berthe n’était pas là, nous allions sous les arbres cueillir les cerises. Edith et moi prenions celles d’en bas et mes frères montaient dans l’arbre. Qu’est-ce qu’on se régalait ! Mais nous faisions attention à ce que ma grand-mère ne revienne pas à ce moment-là car sinon gare à nous ! Et là impossible d’accuser les oiseaux ! Seulement quand les gens venaient pour en acheter, ils allaient dans les arbres les cueillir mais il n’y en avait plus en bas grâce ou à cause (au choix) de nous alors ils les cueillaient où ils pouvaient. Ma grand-mère les pesait et ça lui faisait une petite ressource. Quand il y en avait en trop, les gens venaient nous les apporter à la pension, comme c’était gentil car ça nous faisait un dessert que nous n’aurions pas eu sinon en cette période de guerre!

 

 Et vous, est-ce que vous aimez les cerises ?

 

PS : Gaëlle est venue me faire réviser la mise en ligne des photos sur mes articles J

 


Commentaires

 

1. monnaiesanciennes  le 16-03-2012 à 06:36:16  (site)

Bravo pour la photot du jour, bonne journée
amicalement
gege66

2. jakin  le 16-03-2012 à 06:52:01  (site)

Compliments pour la photo du jour et bonne continuation.....
Jakin, smiley_id210602

3. mesbergersallemands  le 16-03-2012 à 06:56:42  (site)

félicitation pour la photo du jour !! bonne journée smiley_id117725

4. anaflore  le 16-03-2012 à 08:23:32  (site)

bravo pour la photo du jour

 
 
 
le 09-03-2012 11:04

je crois au miracle

un jour les soeur voyent que les bobardements était de plus en plus fréquent ont pris une décision  la voici .nous avons était mises en lignes puis une soeur et passer devant nous en nous donnent une médaille retenue par un cordon  en nous disent((la vierge Marie vous protégerat )) donc tout le monde était tranquille ,de temps en temts une soeur controlait si nous avions toujours notre médaille , et bien sur nous l'avions tous .un jour controle , malheur de moi!!!! je cherche au tour de mon cou rien j'avais perdu ma médaille , quand la soeur a vue ça elle ma défendue de m'approcher des autres Mimi et moi étionts trés malhereuses mais nous ne pouvions rien faire car c'était un ordre.alors pendant que les autre jouer moi j'étais assise sur mon coffre car il faut vous dire que nous avions des numéros pour tout toujours le méme (je me rapelle plus du mien) donc j'était toute seule et bien malereuse !!!!! mais un jour la siréne sonne comme d'habitude tout le monde ce prècipite a l'abri dans la cave, tout le mondes ?ben non!!moi comme la soeur a suivi les autre sans se soucier de moi ben je suis réstait a ma place alors -la j'était aux premiéres loge avec une peur du tonnére j'entender les avions qui s'pproches de plus en plus vers ou j'était ,j'avais tellement peur que je nosèe pas bouger dailleur en plus de la peur des avions j'avais de reçevoir une punition pour avoir déobèis pour avoir etait avec les aures .Soudain j'entend un bruit infernal jet en méme tempt un sifflement puis un autre bruit plus fort !! tout ça a était tellement rapide que je ne pouvais pas réaliser sur le coup se qui arriver ,oh la la!!!! quand j'ais réalisée je ne pouver pas le croire car vraiment je peu dire que je les échaper bel!!! oui une bombe était tomber sur un de nos batiment et un éclas et tombé  environs apeine aun mettr de moi  quand la sirénne a sonner pour dire qu'il n'y avait plus de denger et que la soeur a vu moi sur mon cffre comme une statue et l'éclat de l'obus elle n'en revnez pas elle ma dit que malgrés que je n'avait pas de médaille la vierge m'vavait protéger donc je pouvez reprendre ma place 
 


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1. mamimoto  le 13-03-2012 à 09:12:42

ben dis-donc ça a du être la peur de ta vie. Mais c'est du grand n'importe quoi ce que les soeurs faisait, et comment elles retournaient la situation pour ne pas dire qu'elles avaient fait une erreur

2. lacorneille   le 13-03-2012 à 10:01:22

oui ma fille comme tu dit j'ais eu trés peur mes tu ces il fallait étre dans la situation qu'on était pour comprendre les soeur faisait ce qu'elle pouvait pour nous rasurer et oui!!!

 
 
 
le 02-03-2012 17:48

pique-nick

je ne vais pas cette fois ci vous parler de la guerre car ces souvenires me font pensée a des choses trés fortes!!! bon voila!!nous avoins hate au moment du blé de voire en nous promenent  les paysants sur leurs faucheuses et guider leurs chevaux si les Allemands leur en avait laisser si non cétait avec des boeufs , on voyaient le blé tombé sur le sol il était lier en botte ,les paysants les metter en tas pendant un certaint temps

 puis avec unevoiture a cheval  qui était fait d'un plateau et des ridelles pour retenire les gérbes

,il y avait un homme qui était sur le plateau pour receptionner les gerbes qu'avec une fourche d'autres travailleurs lui tendé il les dispose de façon a ce que le chargement soit bien équilibrer il les monter a une crtaine hauteur puis c'était le retour a la grange ou le blé etait déposè .Alors la!!nous qui marchins sans nos sandales a semelle en bois pour les économiser nous les enfilions bien vite pour aller glané pour les poules de la pension et aussi pour que les soeurs puisse faire faire leurs osties pour la messe il y avait une carriole tirait par un ane car  nous faisions de sacrés kilométres et les plus jeunes fatigués alors chacune leurs tours monté dans la carriole pour ce reposés nous mangions sur place était pour nous une trés bonne journée car nous ne pensions pas pendant ce tempt a la gérre cela nous était formidable!!!!!

 


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1. mamimoto  le 08-03-2012 à 09:17:15

Coucou, c'est très agréable de découvrir tes souvenirs qui remontent en surface. ça me fait penser à un livre où il serait raconter une histoire. Mais hélas c'est la dure réalité que tu as vécu pendant ton enfance. On a du mal à réaliser que les hommes soient si cruel entre eux, juste pour un peu de pouvoir.

2. MINOUCHE 89  le 08-03-2012 à 17:24:37

Merci ma petite tata préférée,te lire me fait du bien j'en oublie mes tracas du moment. Tout plein de gros bisous

 
 
 
le 27-02-2012 17:34

la peur

un jour la soeur nous a présenter une fille ,mon dieu dans quelle état!! mal habillé, mal peigner, et en plus elle begyais et nous cruelles que nous étions on se moqué d'elle .ce que l'on a pas compris ces quelle a était mise dans le chalet de ceux qui était a l'assistance publique elle ne devez pas en faire partie puisqu'elle n'était pas accompagné par une assistante sociale mais bon on a pas chercer plus loin .unjour que nous étionts entraint de jouet tranquillement sous la surveillance d'une soeur , voyont une soeur qui arrive rapidement vers la soeur qui nous gardé elle lui parle rapidement et aussitot elle prend la fille mal habillé qui se nomer Marie -Josèphe puis celle qui nous gardez nous a fait mttre en rang et conduit versla cour d'entrèe et la quel choc!!!!il y avait des allement ,ily en avait un qui s'avait parlé le Français et il a donnez l'ordre de nous mettre en ligne puis il a passé devant chacune de nous en nous dévisagent. quand il a eu fini il a demander s'il y avait pas d'autre enfant la soeur a dit non il n'y en a plus elles sont toute la ,nous on savait qu'elle menté et on ce demandez pourqoi mais ont a rien dit .dailleur nous étiont bien trot éffrayer un jour a Orléan en marchand je vois devant moi une jeune fille habiller d'unmanteau et une toc en fourure pour la fin de la falait quelle soit d'une famille riche que je pensée, mes quand elle arriver a ma hauteur elle s'aréte et me dit bonjour je me demande qui elle et car je ne la reconnaisser pas ,elle ma dit (tu ne reconnait pas Marie-Joséphe ?)alors 'la je n'en revenez pas !!!! épuis elle ma expliquer que si elle était avec nous en pension ces qu'on la cacher des Allements mes maintenante elle a retrouvée sa famille j'étais et suis toujours trés hereuse!!!!!
 


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1. Palette  le 27-02-2012 à 16:39:46  (site)

Comme quoi, une fois de plus l'habit ne fait pas le moine...

Bisous
Jaqueline

2. lacorneille  le 02-03-2012 à 16:51:41  (site)

merci de votre mésage , sa me fait bien plaisir

 
 
 
 

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